En 1965, guidé par son instinct, Jean Dinh Van créa une marque de joaillerie que personne n’attendait.
Iconoclaste par nature, il travaillait le métal de ses mains à la manière d’un sculpteur suivant son impulsion créative.
La vision de Jean Dinh Van pour la joaillerie était simple : une grammaire joaillière imprégnée de design, des bijoux pour tous, qui se portent avec tout, partout, tout le temps.
Des bijoux qui transgressent les codes de la Place Vendôme en sublimant des objets du quotidien.
Jusqu’ici rond ou ovale, forçat ou figaro, le maillon n’a, dans les années 60, pas encore entrepris de révolution et se pense d’abord comme un élément d’assemblage, une figure secondaire faite pour sublimer les motifs centraux.
Pour Jean Dinh Van, il est le point de départ de son travail de sculpteur joaillier pour construire son propre vocable. Perfectionniste et animé par les figures géométriques et minimales, il retravaille la forme jusqu’à trouver les proportions parfaites de cet élément aussi essentiel que complexe.
Jean Dinh Van sculpte un relief inédit inspiré des maillons qui ornent la place de l’Opéra, rectangulaire et adouci aux angles : le premier maillon à section carrée, le Maillon dinh van. Une approche sculpturale, une signature, un accord précieux entre l’or et le diamant...
Un exercice périlleux d’opulence, où l’imbrication des différents maillons se joue des volumes et des asymétries, mettant en lumière la rigueur de composition propres aux créations dinh van.
Déjà disponible en or blanc totalement pavé, la collection Maillon s’enrichit d’une bague, d’un collier et de boucles d'oreilles en or jaune et pavage diamant pour un vestiaire de jour lumineux et au sertissage subtil
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